[Ressources] Cultures et civilisations

Une mise en bouche:

Résumé:

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Conférence du samedi 17 octobre 2020

L'archéo-anthropologue Valérie Delattre évoque la place des « corps différents » dans les groupes humains du passé, grâce à l'étude des pratiques de l'archéologie funéraire et des grilles de lecture de l'anthropologie.

Avec ---
Valérie Delattre, archéo-anthropologue à l'Inrap, est spécialiste des pratiques funéraires et cultuelles de la Protohistoire au Moyen Âge. En 2011, elle a été lauréate du prix Handi-Livres pour son ouvrage « Décrypter la différence » co-dirigé avec Ryadh Sallem. En 2018, elle a publié « Handicap : quand l’archéologie nous éclaire » aux éditions du Pommier-Universciences, avec la collaboration de l’Inrap.

Conférence proposée dans le cadre de l'exposition de photographies « Être Beau » (jusqu'au 31 décembre 2020)

Conférence du 17 octobre 2018, avec le paléoanthropologue Bruno Maureille

On pourrait croire qu’après plus de 150 années de travaux sur les Néandertaliens, une thématique comme celle de la diversité des comportements des néandertaliens vivants envers leurs morts ne fait plus l’objet de recherches, que les problèmes sont résolus. Mais il n’en est rien. L’existence de certaines sépultures primaires néandertaliennes a fait l’objet de critiques récentes alors que c’est uniquement en 2015 qu’il a été réalisé la première étude des atteintes d’un squelette néandertalien dans le but de discuter son histoire taphonomique...

Cette conférence est l’occasion de présenter la diversité des traitements que les membres de la lignée néandertalienne ont réservé à certains de leurs morts, d’en discuter l’importance symbolique (ou parfois alimentaire) et de souligner quelques-unes des différences que l’on peut suspecter entre activités mortuaires des Néandertaliens et celles des Humains modernes.

Un mort à la maison:

Documentaire - les magiciens du Vanuatu: